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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/69

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Le temps ne fait pousser aucune rose, — qu’il ne la brise et ne la rende à la terre. — Si le nuage au lieu d’eau aspirait la poussière — jusqu’au dernier jour pleuvrait le sang des amants.


98.
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Sous la Roue qui tourne sans fin, — sache que deux groupes de gens sont heureux : — ceux qui connaissent tous les secrets du monde, — et ceux qui les ignorent complètement.


99.