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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/78

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Ceux qui sont déjà partis, adolescent, — dorment dans la poussière de leurs illusions, adolescent. — Viens, bois du vin, écoute la vérité que je t’apprends : — Tout ce qu’ils ont dit est du vent, adolescent.


116.
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Hier, j’ai brisé ma cruche sur une pierre. — J’étais ivre quand j’ai fait cette folie. — Les morceaux de la cruche m’ont dit à leur manière : — « J’étais comme toi. Tu seras comme moi. »


117.