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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/79

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Prends dans ta main la coupe semblable au coquelicot printanier ; — si tu le peux, avec un adolescent pareil au coquelicot, — bois du vin, chasse le chagrin, car cette vieille Roue — soudainement t’abaissera au ras de la terre.


118.
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Du vin qui donne la vie à la vie même, — remplis la coupe, bien que ma tête déjà soit lourde. — Mets-la dans ma main… le monde est un conte, — et hâte-toi, car mes jours passent comme le vent.


119.