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Page:Anet et Muhammad - Les 144 Quatrains d’Omar Khayyam, 1920.djvu/80

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Je boirai tant de vin que l’odeur — en montera de ma tombe, — et lorsque passera un buveur attardé, — du seul parfum il tombera, ivre.


120.
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Que j’aie toujours à la main la coupe, — au cœur l’amour des adolescents ! — On me dit : « Que Dieu t’accorde le repentir ! » — Mais ni Dieu ne me l’offre, ni je ne le désire.


121.