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Page:Annales de chimie et de physique, série 6, tome 21, 1890.djvu/486

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M. COUETTE.

C’est ce que montre le Tableau que voici R. 60 60 ’7 R. 60 ?. t. 0,0~998. )o3,6 2073 t2,7 o,ogo36. a)4,9 23~8 13,6 o,t3o7. 3/)4 ~63 ?. » o,t778. 377 2121 » o,io8. 5~2 2570 » 0,2762. 701 2538 » o,2969(cuivre).. 6~8 2182 15,o 0,45. !2o5 2678 » Enfin, j’ai constaté sur l’eau et sur le mercure que l’élévation de température abaissait la limite inférieure des oscillations. 1 35. La deuxième toi avait été découverte, dès t883, par ’M. O.t&o/e Reynolds, mais énoncée sous une forme un peu diSérente la vitesse moyenne pour /~<e//e les /OM/’&t//on~ co/nwence/~ est e/ ! raison ~~ey’~e du rayon ~/H tube. j M. 0~’or~te ~e~/ïo~ a étudié avec soin l’influence de la température, qu II a pu exprimer par la loi suivante La vitesse moyenne pour /<fte//e les <OMr~<7/o/M cowfMe / !ceMt ~/<ï~ HM même tube est ~o/ ?o/’ttOM/ ?< ?//e a ; e Le physicien anglais a vériuë cette loi par ses expériences sur l’eau à diverses températures, et, en se fondant .des considérations théoriques, qui me paraissent peu rigoureuses, il la donne comme s’appliquant aussi :)