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Page:Anonyme - Macaire, chanson de geste.djvu/559

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Notes.

Huon de Bordeaux, p. 114 :

Et tous iciaus que tu as à guier.

P. 67, v. 19 : chalengier. V. ci-dessus la note sur le vers 20 de la p. 51.

P. 67, v. 20 :

S’Auberis fust fervestus et armés.

Huon de Bordeaux, p. 149 :

Car, se je fusse fervestus et armés.

P. 69, v. 3 :

Et brandist l’anste où ot bon fer d’acier.

J’emprunte ce dernier hémistiche au poëme de Gaydon :

La hanste prent où ot bon fer d’acier.

(P. 95, v. 6.)

P. 69, v. 5 :

Et Auberis n’ot fors le branc d’acier.

Huon de Bordeaux dit, en employant le même tour :

Et je n’avoie fors m’espée trençant.

(P. 35.)

P. 69, v. 8 : hom desarmés — ou desgarnis.

Huon de Bordeaux, p. 23, v. 12 :

Tu es armés et je sui desgarnis.

P. 69, v. 9 : armés et haubergiés.

Gaydon, p. 34 :

Est il encor armez ne haubergiez ?

P. 71, v. 2 : selve.

Raoul de Cambrai, p. 93 :

Ybert estoit leiz la selve foillie.

P. 71, v. 2 et 8 : herbor. Je n’en connais pas d’exemple, mais il se justifie par l’analogie de tenebror.