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Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 2.djvu/196

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MNÈSILOKHOS.

Qu’y a-t-il ?

EURIPIDÈS.

Agathôn sort.

MNÈSILOKHOS.

Où est-il ?

EURIPIDÈS.

L’homme roulé dans la machine.

MNÈSILOKHOS.

Je suis donc aveugle. Je ne vois pas un homme ici, je vois Kyrènè.

EURIPIDÈS.

Silence ! Il se prépare à mélodier.

MNÈSILOKHOS.

Des sentiers de fourmis ou des gazouillements plaintifs ?




AGATHÔN.

Prenez la torche consacrée aux Déesses souterraines, jeunes filles, et, au sein de votre patrie et de la liberté, mêlez les danses aux cris.

LE CHŒUR D’AGATHÔN.

De quelle divinité est-ce la fête ? Dis-le-moi. La foi me rend prêt à honorer les dieux.