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Page:Artaud - La Petite Poste dévalisée.djvu/158

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LA PETITE-POSTE

coûte si peu. Je remarque, en même temps, qu’avec l’orgueil insensé qui préside à ce faste, on auroit à rougir, si l’on vouloit se replier un peu sur soi-même ; car le pauvre Mondor étoit à cette fête le seul de sa tribu. Il y a sûrement à parier, à de semblables nôces, qu’on n’y aura gueres l’ennui des grands parens, ils ne sont pas bons à montrer ; la prudence les tient les plus éloignés qu’il est possible. Notre nouvel époux étoit apparemment dans ce cas là ; mais en voilà bien assez sur ce chapitre. Es-tu du lendemain ? Je n’irai point ;