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Page:Artaud - La Petite Poste dévalisée.djvu/160

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LA PETITE-POSTE

sçais que je n’étois pas d’avis que notre parente fît ce beau mariage. On l’a voulu : la petite cousine fera comme ses égales ; elle vengera le Public des sottises de son mari. Adieu encore.


Au Chevalier de ***.


Avec plaisir, j’accepte la partie pour demain : je me rendrai chez toi en chenille, & tu me conduiras. Je ne crois pas décent, pour une premiere visite, de me présenter habillé ; cela auroit un air de prétention que je ne me soucie point du tout d’avoir. Tu m’auras ren-