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Page:Artaud - La Petite Poste dévalisée.djvu/170

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LA PETITE-POSTE

comme eux ; mais je tâche d’être toujours juste. Si vous trouvez mes conseils bons, profitez-en : je ne suis point assez sévère pour vouloir vous assujettir à ma façon de penser ; & je ne vous l’ai proposée que comme un remede à l’ennui dont vous vous plaignez. Adieu.


M. de la Semaine, à un jeune Caissier.


Je ne vous conçois pas, en vérité, Monsieur. Vous craignez que l’affaire qu’on vous propose ne soit pas bonne ;