Aller au contenu

Page:Asselineau - Le Paradis des gens de lettres, 1862.djvu/28

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de la vigne, et nous répandrons le sang le plus pur de nos troupeaux.

« Puissions-nous le répandre éternellement, et sentir éternellement tomber sur nous la pluie généreuse de votre éloquence et de votre sagesse ! — Paix éternelle sur vous, et bénédiction éternelle ! »