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Page:Asselineau - Le Paradis des gens de lettres, 1862.djvu/29

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III

Et voici qu’arrivés au centre de la ville, sur une place plus spacieuse encore que la première, s’offrit à nous un vaste édifice à la sombre façade et dont le péristyle seul, percé de trois larges portes, était éclatant de lumière. Des gardes d’honneur, vêtus de riches habits et d’armes étincelantes, se promenaient devant ces trois portes, et de cet édifice s’échappait par instants une ru-