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Page:Augier - Théatre complet, tome 7.djvu/74

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Boislangeais.

Des chevaliers français…

Champin.

Vicomte, je tiens vos trois cents louis.

Jean.

Vous avez tort, car cette charmante fille ne m’a encore rien accordé.

Boislangeais.

Tu ne lui as donc rien offert ?

Jean.

Que si fait ! Je lui ai envoyé hier soir un peigne garni de saphirs… et j’attends sa réponse.

Champin.

Elle ne se fera pas attendre.

Justin, entrant.

Le coach de ces messieurs est en bas.

Jean.

Partons.

Justin.

Une carte pour monsieur le vicomte.

Jean.

Le comte et la comtesse de Thommeray…

Boislangeais.

Les auteurs de tes jours ?

Jean, à Justin, qui enlève sur un plateau le café et les liqueurs.

Ils sont là ?