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Page:Aulnoy - Contes des fées, 1868.djvu/327

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LE PRINCE LUTIN

L’innocence était délivrée
Des périls les plus évidents ?
Car le secours puissant d’un chapeau, d’une rose,
On voyait arriver mainte métamorphose ;
Voyant tout, et sans être vu,
Un mortel parcourait le monde,
Et trouvait, dans les airs, un chemin inconnu.