ce regard de petite fille — aujourd’hui plein d’alarmes — car vos enfants vous le rendront.
Toi, Monique, jeune épouse comblée, quand tu passes avec ton mari à portée de la petite veuve, poignardée de souffrance, apaise ton regard grisé par ton mari. Laisse voir à la jeune veuve l’amour car son pays est là, mais pas la frénésie.
Éteignez vos regards en approchant de la jeunesse qui flambe sur son bûcher, décemment en silence.
Si chez elle ou chez lui, le monstre, la légèreté s’entête, si elle n’écoute pas à temps la voix du plus sûr ou lui, de la plus sûre, il n’y a plus qu’à pâtir et à s’époumoner. Que j’ai vu de nobles femmes perdre l’espoir d’arracher l’homme à un penchant fatal devant l’impénétrabilité du chef : il ne les écoutait pas.
Laisse-lui l’influence.