Aller au contenu

Page:Aurel - Le nouvel art d'aimer, 1941.djvu/111

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

PARENTS
105

Disons-lui seulement, ah tôt,
plus tôt : « Je te dois tout et le reste et moi-même, tout ce que j’ai pu devenir puisque je t’aime. Je suis ton reliquaire et je ne rayonnerai plus que toi. »

Osons les éblouir du bien

qu’ils nous ont fait.
On est toujours assez
fort pour la joie.