belle âme à son Créateur à 11½ heures du matin, mardi 29 février 1848.
Je me tairai sur les impressions que j’éprouvai alors. Il y a des douleurs qu’aucunes consolations humaines ne peuvent alléger ; Dieu seul peut soutenir une âme dans de pareilles circonstances. Je terminerai en citant quelques-unes des lettres que je reçus alors et qui achèveront de vous faire connaître ce que fut votre père.
Lettre de M. le Grand-Vicaire Cazeau :
« Ma bonne cousine, Mme Panet a eu la bonté de me faire part hier au soir de la fâcheuse nouvelle qui venait de lui être transmise par le télégraphe. Je m’empresse de vous exprimer combien je m’associe à votre trop juste douleur, et je suis heureux de vous offrir en même temps les sympathies de Nos Seigneurs de