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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome I.djvu/108

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Aussi à mesure que Sallenauve approchait de la triste maison, cessant de penser à lui-même et aux joies ou aux mécomptes que l’avenir pouvait lui tenir en réserve, il se sentait plus tourmenté d’une vague inquiétude, et deux ou trois fois il avait dit au cocher qui le conduisait de pousser ses chevaux et de se hâter d’arriver.

La porte lui fut ouverte par Philippe, ce vieux domestique qui déjà, du temps de madame Marie-Gaston, était majordome de la maison.

— Votre maître, comment va-t-il ? lui demanda Sallenauve.