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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/110

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lennelle et de rester cette fois spectateur du combat.

Ne pouvant s’entendre, les deux parties d’un commun accord résolurent de soumettre la question à un tiers ; Daniel d’Arthez, excellent esprit et qui s’était montré animé pour Sallenauve des sentiments les plus bienveillants, fut l’arbitre choisi.

Le jour même, Sallenauve, qui d’ailleurs lui devait une visite ainsi qu’à Canalis, se présenta chez lui, et après l’avoir remercié du zèle officieux avec lequel il avait pris sa défense, il le fit juge du cas litigieux.