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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/151

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la douleur de Sallenauve et son indignation contre M. de l’Estorade, l’auteur vrai de tout le mal, quand il eut pris connaissance de cet article, qui, après avoir fait le bonheur du public anglais, défraya pendant plusieurs jours la conversation dans tous les salons de Paris.

Sallenauve, d’ailleurs, n’avait pas encore épuisé la série entière des émotions que la cruelle destinée de son ami lui tenait en réserve.

Le lendemain du jour où l’article du Times était parvenu à Paris, il recevait de Jacques Bricheteau une lettre que nous reproduisons ici :