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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/152

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« Cher monsieur et ami, écrivait l’organiste, je n’ai pas à vous entretenir de l’affreux événement dont les feuilles publiques ont donné une relation circonstanciée.

» Je suis arrivé seulement pour assister aux funérailles de votre malheureux ami ; par les soins de lord Lewin, ses restes mortels ont été embaumés, et n’ayant pu faire mieux, je me chargerai de les ramener en France, pour être inhumés auprès de ceux de sa femme.

» Provisoirement, ils sont déposés à Londres dans le caveau d’une chapelle