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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/155

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pandre en éloges sur le compte de la grande artiste que nous avions entendue.

» Habitué comme beaucoup de ses compatriotes aux excès de boisson, lord Lewin, malgré l’énorme quantité d’alcool qu’il avait absorbée, ne me parut en proie qu’à une sorte d’exaltation, ses idées restaient parfaitement saines et lucides, et notre soirée, que nous prolongeâmes jusqu’aux environs de minuit, fut constamment animée par le ton vif et intéressant qu’il sut donner à la conversation.

» Au moment où nous nous séparâmes