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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/173

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demeurait à la tête d’environ cent vingt-cinq mille francs de rentes, et la signora Luigia, pour sa part, en conservait plus de trente mille. Personne n’avait donc le droit de se tenir pour très malheureux.

Bien, avant le moment où, en Angleterre, la sage administration de Jacques Bricheteau préparait ce dénouement, en France se liquidait la succession de Marie-Gaston.

Mort ab intestat, il avait pour héritiers ses deux neveux. Comme l’un et l’autre étaient mineurs, les immeubles durent être vendus judiciairement. Le pavillon