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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/202

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fréquemment. Profiter des loges de spectacle qui lui étaient adressées par Maxime, et visiter avec elle les curiosités pour lesquelles il envoyait des billets devenait ainsi une assez douce violence que ces bonnes chattemites se firent volontiers.

C’est ainsi qu’à la séance de la Chambre à la suite de laquelle M. de Trailles fit son incartade, outre sa future belle-mère il s’était vu dans la nécessité de traîner la greffière et sa fille ; une migraine venue à propos l’avait pourtant dégrevé de madame Marion et pour cette fois avait réduit à trois le troupeau de femmes dont constamment il était