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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/203

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condamné à se constituer le pasteur officieux.

Le séjour à Paris de ces fâcheuses fut environ d’une quinzaine, et le lecteur peut se figurer si, durant cet intervalle, leur correspondance avec Arcis fut active. Madame Marion avait à écrire à son neveu ; madame Mollot à son mari ; Ernestine à son amie Cécile ; de son côté, madame Beauvisage avait à tenir le vieux Grévin au courant de ses démarches, et, parfois aussi, elle écrivait à sa fille et à son mari. Nous n’avons certes pas l’intention de recueillir la volumineuse collection de ces nouvelles Provinciales dont le moindre défaut est de ne