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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/222

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fet M. de Chargebœuf, qu’on dit à Paris, mais que nous n’avons pas entrevu.

» Adieu, mon cher Simon, soigne-toi et pense à ta vieille tante. Nous sommes encore ici pour une huitaine. Madame Mollot veut tout voir et nos emplettes souffrent souvent de sa curiosité, qui nous fait perdre beaucoup de temps. Tu feras bien, une fois marié, de ne pas trop lui laisser d’empire sur sa fille. Ceci bien entre nous, car au fond ce n’est pas une mauvaise femme, à cela près qu’elle serait capable de faire battre des montagnes. Bien des choses au gros Mollot et mes amitiés à mon frère. Pour toi, cher Simon, tu sais ce que je te suis. »