Aller au contenu

Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/267

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

madame la greffière en affectant de n’avoir point été touchée de la menace.

— Au moins tout ce que je pouvais avoir de désagréable à vous communiquer, car il me reste à vous demander si vous avez quelque chose à faire dire ou à faire parvenir à Arcis. Je pars ce soir, et je serai heureux de me charger de vos commissions.

— Grand merci, monsieur, nous partons nous-mêmes sous deux ou trois jours.

— Je ne vous dis donc pas adieu, mais au revoir. Et à la suite de cette