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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/281

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avait tout d’abord saisi les côtés faibles. C’était donc également contre son avis que madame Beauvisage, en vue de suivre cette intrigue, avait fait le voyage de Paris, et s’il n’avait vu sa fille entrant au moins dans son idée de subordonner expressément les espérances de M. de Trailles au succès des soins qu’il promettait de continuer à la nomination de Beauvisage, le prudent vieillard se fût tout à fait prononcé contre un déplacement qu’il jugeait inutile et que la chance d’un contact journalier entre la belle-mère et le gendre laissé en question, pouvait amener à rendre dangereux.

M. de Trailles était trop clairvoyant