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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/282

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pour ne pas s’être aperçu, lors de la visite de congé qu’il avait été faire à l’ex-notaire, d’une nuance très marquée de refroidissement ; les Beauvisage, il avait toujours pensé en avoir bon marché, mais sentant chez Grévin une plus grande force de résistance, il avait bien deviné que là serait le sérieux obstacle, et c’est pour cela, qu’armé de la pièce dont la malveillante étourderie de madame Mollot l’avait mis en possession, nous le voyons sonnant a la porte de la maison habitée par le difficile adversaire qu’il s’agissait de neutraliser.

Suivant sa coutume, lorsque le temps le permettait, Grévin, après son déjeuner, était assis sur la terrasse de