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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/283

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son jardin, à l’ombre d’une touffe de lilas et occupé au passif travail de sa digestion.

Prenant pour l’aborder une forme abrupte et solennelle qui devait tout d’abord le mener au cœur de la question :

— Monsieur, dit Maxime, aussitôt que le vieillard, après l’avoir fait asseoir auprès de lui sur une chaise de jardin, lui eut demandé par quel heureux hasard il était ramené à Arcis, j’ai l’honneur de venir vous demander la main de mademoiselle Cécile Beauvisage votre petite-fille.