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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/289

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le billet de M. Chargebœuf ; et, après en avoir donné lecture à Grévin, tout en prenant le soin assez significatif de le replacer dans l’endroit où il l’avait pris :

— Le hasard seul, continua-t-il, ne m’a pas seul rendu possesseur de ce compromettant écrit.

Et il raconta la perfidie de madame Mollot, et la manière dont il s’était assuré qu’elle en était réellement coupable.

Comme Grévin n’avait pu se dispenser de manifester une douloureuse surprise :