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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/290

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— Mon premier soin, reprit M. de Trailles, a été de couper court à l’ébruitement de ce scandale.

Et l’ancien notaire fut encore mis au fait de la démarche comminatoire par laquelle il était à croire que la langue de la greffière serait solidement enchaînée.

— Mais vous comprenez, monsieur, ajouta le chevalier de la vertu de madame Beauvisage, que, pour faire sentinelle auprès du secret dont nous voulons rester maîtres, j’ai besoin que, dans votre famille, ma situation soit nettement et publiquement définie ; car ce