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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/85

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l’Estorade placer la question sur le même terrain.

— Oh ! monsieur, fit madame de l’Estorade, en se levant toute hors d’elle, et en venant lui prendre les mains, de quel poids immense vous soulagez mon pauvre cœur.

Après l’avoir respectueusement reconduite à sa place :

— Je suis assez heureux, madame, reprit Sallenauve, pour pouvoir vous donner la preuve que le souvenir du bienveillant accueil que j’ai reçu dans votre maison, n’a pas cessé d’être pré-