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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/86

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sent à ma pensée ; je venais de terminer le projet d’une lettre que je dois faire paraître demain matin dans un journal, je puis vous la communiquer, et même au besoin y modifier quelque chose dans le sens conciliant que nous poursuivons tous.

Sur l’accueil empressé qui fut fait à sa proposition, Sallenauve passa dans son atelier, et, en revenant presque aussitôt, un papier à la main :

— J’ai là, ajouta-t-il, un de mes amis, qui ne vous est pas tout à fait inconnu, M. Jacques Bricheteau. Je me préparais à lui demander sur ce projet de lettre, son impression dans laquelle j’ai la