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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome V.djvu/213

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me serait agréable de pouvoir le servir au château, accommodé à votre sauce.

— Mais, mon cher collègue, vous savez que je n’ai pas le sou.

— Très bien ! mais vous n’êtes pas gêné pour anticiper sur les crédits ; dans quelques jours, les fonds nouveaux seront votés.

— S’ils sont votés.

— S’ils ne l’étaient pas, ce serait l’affaire de votre successeur ; moi, je vais me hâter de faire finir celle qui vous intéresse, afin qu’elle ait sa solution sous mon règne.