Page:Banville - Dans la fournaise, 1892.djvu/301

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Ronflant en folles gammes,
Ces gens dorment avec
Leurs femmes,
À Paris comme au Pecq.

Et les filles de joie,
Bataillon que la Faim
Déploie,
Se reposent enfin.

D’une main rude et forte,
J’ai vu que l’on barrait
La porte
Du fauve cabaret.

Tout gorgés d’écrevisses,
Les fêteurs ont quitté
Leurs vices
Et leur iniquité.