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Page:Barbier - Les Contes d'Hoffmann, 1881.djvu/66

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FRANTZ.

À moins qu’il ne pleuve.

CRESPEL.

Je te demande mon chapeau, animal !

FRANTZ.

Ah ! très bien !… vous ne prononcez pas !

Il présente une canne à Crespel.

CRESPEL, prenant sa canne.

Bélître.

FRANTZ, sautant en arrière.

Holà !

CRESPEL.

Écoute ici !… Tu ne recevras personne.

FRANTZ.

Vous croyez ?

Il fait un pas pour sortir.

CRESPEL.

Où vas-tu ?

FRANTZ.

Je vais voir si l’on sonne, comme vous me l’avez commandé.

CRESPEL.

Peste soit du butor !… (Élevant la voix.) J’ai dit : Tu ne recevras personne.

FRANTZ.

Ah ! très bien !… il faut prononcer.