qui viennent se faire regarder dans la main demandent quelque autre chose, ce n’est néanmoins que pour en venir à ce point et être délivrés de quelqu’un… ».
« Lorsque les galanteries n’allaient pas bien, dit-elle encore, il venait d’étranges choses dans l’esprit de ceux qui viennent chercher des gens qui regardent dans la main. »
Cette Affaire des Poisons revêt une singulière signification, quand on songe aux milliers d’épouses qui avouaient publiquement subir les caresses conjugales comme des viols, tenir leur foyer pour un enfer et qui prétendaient réserver leur cœur pour l’amant de leur choix, puisque la force des lois disposait de leur corps en faveur d’un mari subi contre leur gré. Les centaines et, peut-être, les milliers d’empoisonnements qui sévirent alors ressemblent fort à une série d’attentats dus à l’« action directe » d’anarchistes en