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Page:Bentzon - Le Roman d’un muet, 1868.djvu/129

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TROP TARD




I


— Les voyageurs pour la ligne de Tours, en voiture !

Et la foule se pressait dans l’embarcadère au bruit du sifflet de la locomotive. Sur le marchepied du même wagon, deux jeunes gens se reconnurent.

— Félix !

— Toi ici ?