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Page:Bergerat - Les Cuirassiers de Reichshoffen, 1870.djvu/8

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LES
CUIRASSIERS
DE
REICHSHOFFEN




I

Nous combattions depuis l’aurore, un contre dix !
— Il fallait de leurs bois déloger ces maudits
Qui font mentir jusques à la mitraille…
Et nous allions, perçant ces rideaux ténébreux !
Après ceux-ci, ceux-là, toujours ! et derrière eux
Se reformait l’éternelle muraille