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Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/247

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le nègre blanc et moi, nous le vîmes passer, le gilet en désordre et le chapeau cabossé, ayant visiblement pris part à un combat de canne.

— Je passe à l’ennemi, nous déclara-t-il, en s’arrêtant à notre appel ; cette fois, c’est la racaille, et mes principes se réveillent.

— Comme ça se trouve, fit Ernest Lavigne, ils commencent, moi, à m’intéresser. Je suis allé voir la rue Haxo, j’y ai rencontré des labadens de Sainte-Barbe, et ils m’ont à peu près convaincu. Je leur ai promis mon concours.