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Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 1, 1911, 3e mille.djvu/346

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Dans l’une de ses fresques, la plus belle peut-être, que l’on voit à Poitiers, où il a représenté sainte Radegonde, en son abbaye de Sainte-Croix, au milieu de sa cour de lettrés et de clercs du gai sçavoir, le poète debout qui débite une ode est l’image à la fois vivante et idéale de Théophile Gautier. Il n’en sera jamais fait de portrait plus ressemblant, par une main plus dévote et par un art plus magnifique.