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Page:Berlioz - Les Grotesques de la musique, 1859.djvu/174

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l’accord parfait de majeur, en les avertissant que cet accord est dans l’œuvre d’un compositeur qu’ils détestent :

— Assez, assez, s’écrieraient-ils, c’est atroce, vous nous déchirez l’oreille !

Ce sont de véritables fous.

Je ne sais si dans les arts du dessin on a pu constater l’existence de cette race de maniaques pour qui le rouge est vert, le blanc est noir, le noir est blanc, les rivières sont des flammes, les arbres des maisons, et qui se croient Jupiter.