Page:Berlioz - Les Grotesques de la musique, 1859.djvu/218

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Autre mot de M. Auber.


Dernièrement un habitué de l’orchestre de l’Opéra, ne reconnaissant pas la jeune danseuse qui entrait en scène, demanda à un de ses voisins comment elle s’appelait : « C’est Mlle zina, répondit celui-ci, dont le maillot, vous le savez, s’est décousu le soir de son premier début. — Accident remarquable, ajouta doucement M. Auber qui se trouvait là, car ce fut une des rares occasions où le décousu a du succès. »




Concerts.


Je serais un ingrat si je ne parlais pas ici des douces heures que m’ont fait passer, cet hiver, à Paris les donneurs de concerts.