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Page:Bernard - Federic de Sicile.djvu/182

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curent dans une parfaite union le reſte de leurs jours. Camille prit de l’amitié pour la nouvelle Reine, ſitoſt que Leon eut engagé ſon cœur. L’indifference donne je ne ſçay qu’elle tiedeur pour toutes choſes, qu’on perd toujours avec elle, & l’on eſt capable de tous les beaux ſentimens dés qu’on en a de tendres, la Reine ne pouvant faire mieux, rentra dans la même aſſiette où elle eſtoit avant que de voir Federic. L’Amirale trouva un mary à Majorque, & Yolande un en Sicile ; Enfin tout revint dans ſa premiere tranquillité.

FIN.