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Page:Bird - Voyage d’une femme aux Montagnes Rocheuses, 1888.pdf/217

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AUX MONTAGNES ROCHEUSES

les vérandahs, jusqu’à un bon hôtel situé sur une pente. J’y demandai tout de suite si je pouvais aller à Green Lake. L’hôte me répondit qu’il ne le pensait pas ; il y avait une grande épaisseur de neige, et, depuis cinq semaines, personne n’y était monté ; cependant, pour me faire plaisir, il allait le faire demander à une écurie. Voici l’amusante réponse qui me fut apportée : « Si c’est la dame anglaise qui voyage dans les montagnes, on lui donnera un cheval, mais à personne autre. »