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Page:Blanqui - Cours d’économie industrielle 1836-1837.djvu/503

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366          moutons, au moins ;

et quelquefois 70 à 80 bêtes à cornes.

Tout est nourri avec de la pulpe.
M. Desgraviers. Sur 150 hectares, j’avais :
200 moutons ;
18 bêtes à corne.
J’ai aujourd’hui :
800 moutons renouvelés deux fois,
90 bêtes à cornes.
Je nourris le tout avec le quart de ma pulpe, je vends les trois quarts.
M. Guilbert. Nous vendons notre pulpe, sauf ce qui est nécessaire pour le manége, à raison de 30 à 40 cent. les 100 kilog.
M. Beaumard. Je suis établi depuis un an ; j’ai acheté 18 chevaux et 200 moutons.
M. Blanquet j’avais 40 chevaux et 50 bêtes à cornes, le nombre en a plus que doublé ; je me sers de la pulpe comme engrais, elle est très propre à cet emploi.
M. Hamoire. Nous avions de 50 à 60 chevaux et bêtes à cornes, nous en avons aujourd’hui 150 ; le nombre des moutons s’est élevé de 300 à 450. Nous vendons une partie de notre pulpe aux petits cultivateurs qui en nourrissent leurs vaches.
SOMME.
M. Crespel à Roye. J’ai 100 bœufs, il n’y en avait pas un.
M. Mourgue. Le nombre de mes moutons a augmenté des deux tiers.
M. Lesueur. En commençant notre établisse-