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Page:Boisgobey - Rubis sur l'ongle, 1886.djvu/394

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il monte à cheval tous les matins et il console des veuves. Mais il est convenu que, tous les étés, il passera deux mois chez les nouveaux mariés, et chaque fois qu’il revoit Robert à Paris où le jeune ménage vient assez souvent, il ne manque jamais de lui dire :

— Tu sais que je te dois toujours un coup d’épée.


FIN