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LES
CONFIDENCES
D’UNE
JOLIE FEMME.
TROISIEME PARTIE.
Je n’avois pas encore achevé la lecture de ce cahier, lorſque M. de Murville arriva : ſa vue me fit jetter un cri. Je me détournai avec horreur, pour éviter ſes regards, & ne pas laiſſer tomber les miens ſur lui.
Qu’avez-vous donc ? me demanda-t-il, en s’arrêtant à quelque diſtance. Ce que