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Page:Bonaparte - Œuvres littéraires, tome 1, 1888.djvu/323

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IX

À SON GRAND-ONCLE L’ABBÉ DE BUONAPARTE[1].

Sans date (1791.)

Envoyez-moi trois cents francs, cette somme me suffira pour aller à Paris. Là, du moins, on peut se produire, surmonter les obstacles. Tout me dit que j’y réussirai. Voulez-vous m’en empêcher faute de cent écus ?


X

À SON ONCLE L’ABBÉ FESCH[2].

Serve, près Saint-Vallier en Dauphiné, le 8 février 1791.

J’ai trouvé partout les paysans très fermes sur leurs étriers, surtout en Dauphiné. Ils sont tous disposés à périr pour le maintien de la Constitution.

  1. Publiée par M. de Coston. Citée par M. Iung.
  2. Publiée par M. de Coston.